Les enfants ont le droit de jouer et de pratiquer des activités sportives, par ailleurs essentielles pour leur santé, leur bien-être et leur développement. Ils et elles doivent pouvoir faire du sport dans un environnement sans violence (article 19 de la Convention internationale des droits de l’enfant), bienveillant, sûr, inclusif et qui prend en compte les spécificités de chaque enfant. C’est pourtant très loin d’être le cas en Belgique. C’est pour cela qu’est né le projet PARCS 2.0 | Protéger les enfants contre les violences lors d’activités sportives, qui fait suite au projet PARCS | Pour des activités sportives dans un cadre sûr.
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Dans quelle mesure les services de protection de l’enfance de Belgique francophone assurent-ils le que les droits de l’enfant soient respectés en toutes circonstances, notamment en période de crise ? C’est à cette question que tente de répondre le projet « CARES | Les droits des enfants en danger en situation de crise », qui s’intéresse en particulier au droit de l’enfant à être protégé et à participer, être consulté et être entendu.
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Le Child Friendly Justice european network (CFJ-EN) est un réseau européen spécialisé dans la justice adaptée aux enfants. Son objectif principal est de donner aux enfants les moyens de faire respecter leurs droits quant à leur accès à la justice, de renforcer les capacités des professionnel·le·s et d’assurer un plaidoyer auprès des institutions européennes et nationales pour une justice adaptée aux enfants.
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Chaque enfant a le droit d’être protégé contre toute forme de violence physique ou mentale (article 19 de la Convention internationale des droits de l’enfant). À ce titre, tous les enfants ont le droit d’être éduqué de manière bienveillante, sans violence. Le projet « Positive and Responsive Education For All ChildrEn » (PREFACE) vise à mettre fin aux « violences dites éducatives ordinaires » (VDEO) en travaillant main dans la main avec des enfants, des parents, et des professionnel·le·s du milieu scolaire.
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La justice est une immense machine dont beaucoup ignorent le fonctionnement. Or, pour exercer et défendre ses droits, il faut comprendre ce système. C’est tout l’objectif du projet « Dans la peau de… (un·e avocat·e, un·e juge, un·e procureur·e du Roi…) » : une première immersion dans l’univers de la justice des mineur·e·s, pour permettre aux jeunes d’en saisir les enjeux et les acteurs principaux. Tout au long de l’année scolaire, nous dispensons des ateliers gratuits d’environ 3 heures dans des écoles francophones de Belgique (Wallonie et Bruxelles).
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La prise en charge des jeunes impliqué·e·s dans des faits de radicalisation violente est trop souvent abordée de manière punitive et sécuritaire. Pourtant ces jeunes sont bien souvent mineur·e·s et bénéficient donc de droits spécifiques consacrés dans la Convention Internationale des droits de l’enfant. Le projet vise à améliorer le respect des droits des jeunes en conflit avec la loi à tous les stades de la prise en charge et d'ainsi favoriser leur réinsertion dans la société.
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L'objectif : initier des changements de comportement pour que les enfants soient protégé·e·s, en luttant contre les violence dites éducatives ordinaires (incluant les châtiments corporels). Les activités ciblent les professionnel·le·s (éducateurs, psychologues, travailleurs sociaux,…), le grand public et le politique.
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Ce projet vise à soutenir le travail de Defence for Children International Palestine qui assiste les enfants en conflit avec la loi et à leurs familles sur un plan social et juridique, dans un contexte de graves violations des droits humains. Des activités de plaidoyer sont aussi organisées aux niveaux belge et européen, notamment via l'exposition "No way to treat a child" et des échanges de jeunes entre Belgique et Palestine.
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Dans certains cas exceptionnels, il arrive qu'un·e juge de la jeunesse se dessaisisse du dossier d'un·e jeune ayant commis un fait qualifié infraction, estimant qu’il n’avait pas d’autre mesure adéquate à sa disposition et renvoie alors le·la mineur·e devant la justice des adultes. C'est ce qu'on appelle le "dessaisissement". Dans ce cas, les jeunes sont placé·e·s au “centre communautaire pour mineurs dessaisis" (CCMD). Cette mesure d'exception est depuis longtemps vivement critiquée par la société civile et le Comité des droits de l'enfant des Nations Unies. La recherche "RESsaisir" vise à comprendre comment l'équipe psycho-socio-éducative du centre vit l'élaboration, la mise en œuvre et l'évolution du projet individuel des jeunes.
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